Titre : | La philosophie de l'algèbre. Tome I : Recherches sur quelques concepts et méthodes de l'algèbre moderne. | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jules VUILLEMIN, Auteur | Editeur : | Paris : Presses Universitaires de France | Année de publication : | 1960 | Collection : | Epiméthée, ISSN 0768-0708 | Importance : | 582 p. | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | histoire des mathématiques algèbre philosophie | Résumé : | A partir d'une note sur l'origine et les applications de deux courbes transcendantes élémentaires, on s'est demandé pourquoi Descartes les avait exclues de sa Géométrie. On a été ainsi conduit à étudier les limites que le philosophe impose à cette géométrie : les rapports que l'entendement pur peut construire ne vont pas au-delà des courbes algébriques. Descartes dispose de méthodes " mécaniques " pour résoudre les problèmes de trigonométrie et pour analyser les courbes transcendantes. Ce n'est donc pas un défaut dans la technique, mais une décision métaphysique qui impose ses limites étroites à la Géométrie. Cette décision insère l'oeuvre cartésienne dans la tradition des mathématiques intuitionnistes sinon finitistes. | Note de contenu : | bibliogr. |
La philosophie de l'algèbre. Tome I : Recherches sur quelques concepts et méthodes de l'algèbre moderne. [texte imprimé] / Jules VUILLEMIN, Auteur . - Presses Universitaires de France, 1960 . - 582 p.. - ( Epiméthée, ISSN 0768-0708) . Langues : Français ( fre) Mots-clés : | histoire des mathématiques algèbre philosophie | Résumé : | A partir d'une note sur l'origine et les applications de deux courbes transcendantes élémentaires, on s'est demandé pourquoi Descartes les avait exclues de sa Géométrie. On a été ainsi conduit à étudier les limites que le philosophe impose à cette géométrie : les rapports que l'entendement pur peut construire ne vont pas au-delà des courbes algébriques. Descartes dispose de méthodes " mécaniques " pour résoudre les problèmes de trigonométrie et pour analyser les courbes transcendantes. Ce n'est donc pas un défaut dans la technique, mais une décision métaphysique qui impose ses limites étroites à la Géométrie. Cette décision insère l'oeuvre cartésienne dans la tradition des mathématiques intuitionnistes sinon finitistes. | Note de contenu : | bibliogr. |
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